mardi 15 novembre 2011

Le planétarium, Nathalie Sarraute

Nathalie Sarraute est une représentante du nouveau roman, j'ai donc été réactionnairement très surprise de trouver une intrigue (mince) dans ce roman. Mais en fait on s'en fout, de l'intrigue.

Je la mentionne tout de même, parce que j'ai falli la perdre plusieurs fois : un homme, Alain Guimier, est embrouillé dans des relations socio familiales complexes, pitoyables, très années 50. Au passage, toutes ces interrogations et ses questions, ou celles de différents personnages, m'ont rappelé des paroles, idées, sujets de conversations entendus dans ma jeunesse, ma très grande jeunesse, avec mes parents. Donc, j'ai plutôt aimé cet aspect du livre. Les rapports entre les personnages, surtout dans ce qu'ils ont vieilli, m'ont plu : en me rappelant cette ambiance, ça m'a permis de comrpendre certaines choses, il me semble que je gagnerai à relire ce livre.

Bref, Alain Guimier est perdu dans ses relations sociales mais il ne aprvient pas du tout à s'en libérer, il en est prisonnier d'un façon assez exaspérante.

Le roman est raconté du point de vue de plusieurs personnages, jamais les même, on passe de l'un à l'autre. C'est d'ailleurs le problème. On se perd un peu (et c'est chiant). Donc, ce qui est perceptible sans casse tête, c'est jsute les pensées des gens, et ça c'est intéressant ; dès qu'on essaie de piger qui pense quoi et à propos de qui ça secomplique, mais on sent qu'on s'en fout, l'auteur s'en fout. Mais pas moi.

Bref, un roman brillant ET ennuyeux. A lire pour dire qu'on l'a lu, pour l'exercice. A partça, ça ne vaut rien, excusez moi, prendre les gens pour des cons, non.

1 commentaire:

  1. Je suis bien d'accord.. tout ces discours narrativisés et cette absence d'intrigue m'a rendue sceptique vis à vis de Sarraute ! Par ailleurs lire un livre n'est jamais perte de temps..

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