samedi 17 octobre 2009

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mardi 13 octobre 2009

La fronde contre Jean Sarkozy s'organise sur Internet

La fronde contre Jean Sarkozy s'organise sur Internet
L'arrivée programmée du fils du président de la République à la tête du quartier d'affaires de La Défense agite le Web français.
01net
le 12/10/2009 à 18h07
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La fronde contre l'arrivée programmée de Jean Sarkozy à la tête de l'Etablissement public d'aménagement du quartier d'affaires de La Défense (Epad) s'est organisée sur Internet, allant de l'indignation à l'humour.

Le réseau a protesté avant même l'opposition, concentrée sur la polémique entourant Frédéric Mitterrand, à l'initiative d'un conseiller municipal MoDem, auteur d'un blog à succès sur la vie politique de sa commune des Hauts-de-Seine (www.monputeaux.com). Christophe Grébert a lancé jeudi 8 octobre 2009 une pétition en ligne qui, quatre jours plus tard, a recueilli plus de 8 000 signatures (1).

Depuis vendredi soir, le conseiller général des Hauts-de-Seine est devenu le premier sujet de conversation des utilisateurs français du site de micro-blogging Twitter. L'un d'entre eux a proposé d'identifier chaque message traitant de ce sujet par #jeansarkozypartout, signe de reconnaissance qui apparaissait lundi dans plusieurs messages à chaque minute.

Une offre d'emploi sur le site de l'Epad

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Les tweets les plus décapants sont recensés sur le site jeansarkozypartout.com, créé sur le modèle graphique du site du mouvement de Ségolène Royal, Désirs d'Avenir, qui avait lui-même suscité de nombreuses parodies sur Internet.

« Jean Sarkozy sait faire une omelette avec des œufs Kinder », affirme l'un. « La Suisse est un pays limitrophe de Jean Sarkozy », dit l'autre. Mais le tweet le plus plébiscité est l'œuvre du conseiller municipal Vert à la mairie de Paris, Denis Baupin : « Il y a trois pays où on hérite du pouvoir de père en fils : le Gabon, la Corée du Nord et les Hauts-de-Seine ».

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Des blogueurs ont déterré une vidéo de campagne de Nicolas Sarkozy où le chef de l'Etat demande « que les nominations soient irréprochables ». Un autre internaute a créé une simple page Internet à l'adresse www.jeansarkozyestilpresidentdelepad.com/" target="_blank">wwww.jeansarkozyestilpresidentdelepad.com, où il est écrit « NON. Ensemble, tout ne devient pas possible ».

Enfin, sur le site de l'Epad, une offre d'emploi de « président de l'Epad » a été insérée dans la rubrique « petites annonces » (et retirée depuis). Le profil requis : « diplômé du baccalauréat, vous ne disposez d'aucune expérience professionnelle. Des notions élémentaires de droit seraient bienvenues, même si vous redoublez sans arrêt à la fac ».

Jean Sarkozy, 23 ans, a validé sa première année de droit à l'université.

(1) Mise à jour : elle en compte 43 000 le 13 octobre 2009 à la mi-journée.

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Enveloppe suspecte. Malaises à la gendarmerie - A la une - Le Télégramme

Enveloppe suspecte. Malaises à la gendarmerie

13 octobre 2009 à 15h55

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Une enveloppe suspecte ouverte aujourd'hui dans la brigade de gendarmerie de La Meilleraye-de-Bretagne (nord de la Loire-Atlantique) a provoqué un malaise chez un gendarme puis sur trois pompiers venus lui porter secours.

Un gendarme a ouvert en premier l'enveloppe reçue au courrier et a fait un malaise avec tachycardie.
Trois pompiers venus à son secours ont eux-aussi été pris de malaises à proximité de l'enveloppe, a indiqué à l'AFP le chef d'escadron Christophe Hervé, officier communication des Pays de la Loire.
Une unité spécialisée des pompiers est intervenue sur place pour sécuriser la zone. Une autre unité, spécialisée dans les risques chimiques de la Sécurité civile deNogent-le-Rotrou (Eure-et-Loir), a été chargée de l'analyse de l'enveloppe.Les quatre hommes, hors de danger, ont rapidement en une demi-heure.


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Fillon et Lefebvre défendent Jean Sarkozy... et se plantent | Rue89

La loi ne dit pas que le président de l'Epad est « choisi parmi les élus du conseil général des Hauts-de-Seine ». Décryptage.

François Fillon et Jean Sarkozy au Mont Valerien le 18 juin 2008 (Eric Feferberg/Reuters)

Soit les fiches du Premier ministre sont fausses, soit il n'a pas très bien révisé. Invité ce mardi matin de RTL, François Fillon a affiché son intention de clore la polémique autour de la probable arrivée de Jean Sarkozy à la tête de Etablissement public pour l'aménagement de la région de La Défense (Epad) :

« Ce président du conseil d'administration est élu. Il n'est pas nommé, il est élu. J'entends toute la journée sur les ondes depuis hier [lundi] soir, dire que le président est nommé. Le président n'est pas nommé. Il est élu et il est choisi, c'est la loi qui le dit, parmi les élus du conseil général des Hauts-de-Seine. » (Voir la vidéo)


Sauf que, @fcinq l'a noté sur Twitter, « Fillon s'est complètement emmêlé les pinceaux ». Selon le décret qui régit l'Epad, le président du conseil d'administration est élu par ses pairs et parmi eux, et donc pas « parmi les élus du conseil général des Hauts-de-Seine ».

Les six premiers présidents de l'Epad étaient fonctionnaires

Le conseil d'administration est composé de 18 membres. Neuf membres représentent l'Etat et sont désignés à raison d'un membre par chacun des ministres concernés (urbanisme, transports, aménagement du territoire, logement, économie, budget, industrie, collectivités locales et culture). Et neuf autres « les collectivités locales et établissements publics suivants » :

  • Deux représentants du département des Hauts-de-Seine désignés en son sein par le conseil général.
  • Un représentant de la ville de Paris désigné par le conseil de Paris.
  • Un représentant de chacune des communes de Courbevoie, Nanterre et Puteaux, désigné par les conseils municipaux.
  • Un représentant du Syndicat des transports d'Ile-de-France désigné par le conseil d'administration de cet organisme.
  • Un représentant de la Chambre de commerce et d'industrie de Paris désigné par le conseil d'administration de la compagnie.
  • Un représentant de la région d'Ile-de-France désigné en son sein par le conseil régional.

Avant Patrick Devedjian, Nicolas Sarkozy, Charles Pasqua et consorts, Le Parisien indique d'ailleurs dans son édition de ce mardi que les six premiers présidents de l'Epad étaient « tous fonctionnaires ».

Un argumentaire erroné fourni par l'Elysée ?

Est-ce l'Elysée, comme c'est souvent le cas, qui a fourni l'argumentaire de riposte à François Fillon ? Quoi qu'il en soit, Frédéric Lefebvre semble avoir reçu le même. Avec la même erreur.

Dans un communiqué publié ce mardi, le porte-parole de l'UMP adopte presque mot pour mot la même défense que le Premier ministre quelques heures plus tôt :

« L'UMP regrette que le PS parle de nomination pour l'Epad, en sachant parfaitement qu'il s'agit d'une élection, que la loi prévoit que ce soit un élu qui doive en prendre la présidence, et qu'à ce titre, tous les conseillers généraux sont légitimes à être candidats. »

Jean Sarkozy prend encore la place d'Hervé Marseille

Ledit décret nous apprend également que, si Jean Sarkozy est élu, son premier mandat à la présidence du conseil d'administration de l'Epad ne pourra durer qu'un an et demi, alors que la durée d'un mandat d'administrateur, qui est renouvelable, est de trois ans.

Le fils de Nicolas Sarkozy prendra en effet la place d'Hervé Marseille, opportunément nommé par son père au Conseil économique et social. Hervé Marseille siégeant depuis un an et demi déjà, son remplaçant n'est nommé que jusqu'à la fin de son mandat.

Prendre la place d'Hervé Marseille, cela commence à devenir une habitude pour Jean Sarkozy. Alors que le conseiller général Nouveau Centre des Hauts-de-Seine était pressenti, et soutenu par le président UMP Patrick Devedjian, pour diriger le groupe « Majorité Départementale UMP - Nouveau Centre & Apparentés » au lendemain des cantonales de 2008, le tout jeune conseiller général UMP, poussé par Isabelle Balkany, avait présenté une candidature concurrente surprise quatre jours avant le vote.

A l'époque, tout le monde avait été obligé de s'écarter à son profit. Bis repetita le 4 décembre pour l'élection du président du conseil d'administration de l'Epad ?

► Mis à jour le 13/10/2009 à 17h15, avec le communiqué de l'UMP.

Photo : François Fillon et Jean Sarkozy au Mont Valerien le 18 juin 2008 (Eric Feferberg/Reuters)

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Mediapart se lance dans la diffusion de documentaires inédits

Privé de télé, Torture made in USA sera gratuit sur le Web
Le site d'information Mediapart va diffuser gracieusement à partir du 19 octobre un documentaire inédit. Il restera en ligne pendant deux mois.
01net
le 13/10/2009 à 16h40
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Le nouveau documentaire d'investigation de Marie-Monique Robin (Le Monde selon Monsanto) intitulé Torture made in USA, tombe à pic. Alors que le président des Etats-Unis Barack Obama vient de recevoir le prix Nobel de la paix, les internautes vont pouvoir découvrir, dès le 19 octobre sur Mediapart.fr, une enquête sur l'utilisation massive et systématique de la torture par l'administration Bush, sous couvert de lutte contre le terrorisme.

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Le documentaire, coproduit par Galaxie Presse et le Comité français de radiotélévision (CFRT), dure 85 minutes. Il sera diffusé gratuitement en streaming sur le site d'information pendant deux mois. Une opération qui a pu être mise en place grâce à la renégociation des droits des documents d'archives présents dans le documentaire pour une diffusion sur Internet.

Ouverture d'un espace de débat

Pour la réalisatrice, c'est une issue favorable à une errance de plus d'un an, au cours de laquelle des imbroglios de production l'ont empêchée de diffuser son documentaire sur Canal+, comme initialement prévu.

Pour Mediapart, la diffusion de ce documentaire est un écho à sa conviction qu'« Internet peut permettre de réinventer un  journalisme de qualité, d'enquête, d'échapper aux formats convenus (..) et en appeler aux lecteurs pour débattre et confronter, indique un communiqué publié sur le site. Selon ce dernier, cette remarquable enquête journalistique ne restera pas dans des tiroirs. Elle trouvera son premier public sur le Web ».

Le documentaire va être épaulé par un espace ouvert aux réactions des internautes. Ils pourront y publier des commentaires, des articles, mais aussi envoyer des vidéos. Marie-Monique Robin et  la rédaction de Mediapart prendront part aux débats.

En mai 2007, face au refus de Canal+ de diffuser son film Madâme, consacré à Bernadette Chirac, John-Paul Lepers avait lui aussi choisi de le distribuer sur Internet, mais en vidéo à la demande payante. Les internautes avaient aussi la possibilité de commander un DVD.

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Microsoft et Google draguent Twitter | slate

Reprenons la chronologie de ces liaisons dangereuses faites essentiellement de rumeurs depuis plusieurs mois. En mars, Google ouvre son compte Twitter et Eric Schmidt, le PDG de Google, déclare que Twitter «est la messagerie du pauvre». En avril, les rumeurs vont bon train sur un possible rachat de Twitter par Google qui permettrait à ce dernier de se lancer dans la recherche en temps réel. Et finalement, rien.

En juin, Microsoft lance Bing, son moteur de recherche, entrant alors en concurrence avec Google. En juillet, les rumeurs de rapprochement Google/Twitter reprennent donc. Dans le cadre de la refonte de son service de news, Google travaillerait sur la mise au point d'un outil de recherche et d'indexation de l'info en temps réel — outil qui aurait donc inévitablement besoin d'intégrer Twitter dans ses résultats.

On était sans nouvelle de cet éventuel accord jusqu'à ces derniers jours. Et cette fois, c'est le blog technologique du Wall Street Journal qui révèle que Twitter serait en négociation avec Google ET Microsoft. Mais il ne s'agit pas de racheter toute l'entreprise, Twitter ayant réaffirmé sa volonté de rester indépendant: les deux entreprises cherchent à obtenir le droit d'indexer les tweets des utilisateurs du service de micro-blogging.

Les questions restent nombreuses: d'abord va-t-on vers des accords sans exclusivité, signer avec les deux entreprises? Ensuite, quelle forme prendrait la rémunération — gros chèque d'entrée de jeu? Partage des recettes publicitaires?

Ensuite encore reste l'éternelle question des utilisateurs. Pour le moment, Twitter ne semble pas envisager de levée de bouclier possible contre un accord de ce type. Pourtant, les membres de ce genre de réseaux savent rapidement s'organiser quand une décision leur déplaît — Facebook en a fait les frais à plusieurs reprises. Et la multiplication des activités de Google ces derniers temps pourrait rendre les internautes plus méfiants et moins enclins à donner leurs tweets pour indexation. D'autant que l'opération se ferait sans contrepartie puisque Twitter n'envisage évidemment pas de rémunérer ceux qui fournissent pourtant son contenu: les usagers.

L'engouement autour du site de micro-blogging est tel qu'aucun investisseur ne veut louper le coche. Pourtant, une étude plus approfondie des chiffres tend à montrer que les 90% du contenu du site serait produit par 10% des utlisateurs (contre 80 et 90% pour Facebook). En outre, 60% de ceux qui s'inscrivent sur Twitter l'abandonnent au bout d'un mois. Le taux de croissance de l'entreprise est donc en partie trompeur. On comprend alors mieux que Google ait refusé de payer un prix exorbitant pour le rachat — la valorisation de Twitter à un milliard de dollars sent-elle la bulle internet? — et préfère se payer l'indexation du contenu du site, plutôt que le site lui-même.

T.L.

Lire l'intégralité de l'article sur le monde informatique

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